Collectif Éthique sur l’étiquette

La presse en parle



Fashion Network : Nayla Ajaltouni : « La transparence des marques ne doit pas justifier l’inaction »
A l’occasion de la Fashion Revolution Week, qui se déroule dans toute la France du 22 au 28 avril 2019, FashionNetwork.com s’est entretenu avec Nayla Ajaltouni, coordinatrice du collectif Ethique sur l’Etiquette, qui milite pour le respect des droits humains dans l’industrie de la mode.
Le Monde : Primark, rouleau compresseur de la « fast fashion »
Centres commerciaux et villes se battent pour accueillir la marque de vêtements low cost, même si elle est vue comme « un trou noir qui aspire les flux de clientèle sans en générer ».
Nayla Ajaltouni invitée de "M comme Maïtena" (RMC)
Dans M comme Maïtena, on se demande comment faire pour consommer le plus éthique possible ? Claire Chouraqui et Nayla Ajaltouni nous donnent des éléments de réponse.
Le Monde : « Devoir de vigilance » : selon les ONG, les entreprises peuvent mieux faire
Deux ans après l’adoption d’un texte pionnier sur la responsabilité sociale et environnementale des entreprises, les ONG font le bilan.
Novethic : Devoir de vigilance : les entreprises jouent la montre
Libération : La mode éthiquetée prend ses marques
Fashion Network : Devoir de vigilance : réponse "insuffisante" ou "inexistante" des marques, selon les ONG
Depuis le 1er janvier 2019, la justice peut poursuivre les entreprises n’ayant pas présenté de plan de vigilance. Définit par la loi française sur le devoir de vigilance adoptée en 2017 ; celui-ci vise visant à prévenir les atteintes aux droits humains et à l’environnement au sein des (...)
Le Figaro : Les sociétés pas assez vigilantes sur le respect des droits de l’homme
Les plans de vigilance établis par les entreprises afin de mieux prévenir les atteintes aux droits de l’homme sont "largement insuffisants", estiment des ONG qui ont réalisé un bilan de la première année d’application de la loi dite du "Rana Plaza".
France Culture : Droits humains et environnementaux : de grandes entreprises françaises manquent de transparence
Depuis 2017, une loi oblige les plus grandes entreprises françaises à établir un plan de vigilance des risques de violation des droits humains et environnementaux que leur activité et celle de leurs sous-traitants induisent. Selon quatre ONG, ces règles ne sont pas toujours respectées.
La Croix : « La loi sur le devoir de vigilance des entreprises est encore loin d’être appliquée »
Deux ans après l’entrée en vigueur de la loi sur le devoir de vigilance des entreprises, adoptée après la catastrophe du Rana Plaza, au Bangladesh, six ONG publient jeudi 21 février une étude pour voir comment elle est appliquée. Et sur les 80 entreprises étudiées, aucune ne satisfait (...)